Un bilan vélivole mitigé, avec 36 journées de vol sur 90 disponibles, dont 6 en thermique en grand local. Malheureusement 42 journées du type « plage », ceci pour cause de l’anticyclone cité plus haut. A peine 5 journées perdues pour pluie, c’était 4 fois plus il y a dix ans, alors que celles CAVOK se comptaient sur les doigts d’une main. Un total de 182 heures de vol soit une moyenne de 5 heures par vol, contre 200 h l’an passé et une moyenne de 7 h. Coté records, un total de seize records nationaux répartis entre trois pilotes. Nous avons perdu deux belles journées, la première pour cause de problème douanier, l’autre parce que c’était le jour d’arrivée d’un nouveau pilote, donc briefing le matin et vol d’accoutumance dans l’après-midi. Mais il s’est rattrapé le lendemain puisqu’il a établi dix records nationaux en un seul vol, ce qui en soi est déjà un record ! La seule journée avec lever à 3h30 et décollage à l’aube était en réalité pour les besoins du cinéma, tous à vos écrans ce printemps dans l’émission « Faut Pas Réver » !