La grève la fonction publique nous a incité à utiliser l’aéroport douanier (PPR 24 h) le plus proche de la frontière, Temuco, tout neuf et doté de lignes aériennes régulières. L’aviation civile chilienne est vraiment disponible et nous a autorisé à monter le Nimbus sur le tarmac à côté des biz jet et nous mettre en piste, évidemment tirés par notre voiture, entre deux mouvements des Airbus de ligne (photo).
Nous aurons d’excellents rapports avec toutes les équipes de tous les aéroports et CC de Buenos Aires, car ils ont maintenant accès à l’écran radar, et même s’ils n’ont pas le droit de s’en servir pour faire des séparations avec les IFR, ils voient au moins où nous nous trouvons et nous ont beaucoup aidé lors des nombreux retours difficiles au-dessus de la couche.
Les deux ravissantes policières et leurs collègues de la douane et du contrôle sanitaire agricole, venus spécialement pour nous sur l’aéroport de Pucón lors du retour le 16 janvier. À gauche en arrière plan, Jean-Pierre Ohaco, vélivole chilien de mère française et à sa gauche Peter Vermehren, le deus ex macchina de l’aéroport de Pucón.
Pendant ce temps mon épouse faisait douze heures de queue à la douane terrestre, humiliation d’État pour dissuader les Argentins d’aller dépenser leur argent au Chili.